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02/06/2018

Suicide au PSPG de la centrale nucléaire de Chinon

Un gendarme (Rémi J., 36 ans) du Peloton Spécialisé de Protection de la Gendarmerie (PSPG) de la Centrale Nucléaire de Chinon s'est suicidé avec son arme de service le 26 mai 2018.

Le 20 mai 2018, un autre gendarme du PSPG de Valduc (21) - site de fabrication de la bombe atomique - s'était aussi suicidé avec son arme de service... apprend-on dans la foulée (https://lessor.org/indre-et-loire-suicide-dun-gendarme-du...)...

2 suicides en moins d'une semaine ! Combien sont-ils à craquer à cause des conditions de travail dans le milieu nucléaire ??

La Grande Muette ne dira pas tout, on le sait. Mais une chose est sûre, les énergies renouvelables n'ont pas besoin de pelotons de gendarmes pour être gardées !

Nous sommes tristes pour leur famille évidemment, mais aussi pour la démocratie de cette France malade de son nucléaire mortifère.

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