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04/05/2019

Rendez-nous les milliards d'euros (Lauvergeon en prison !) !!

20/09/2018

17 Fiches DÉTOX au format PDF

Fiche DÉTOX #1 : Déchets

Fiche DÉTOX #1.1 : Démantèlement

Fiche DÉTOX #1.2 : Cigéo

Fiche DÉTOX #2 : Cannibalisme énergétique & CO2

Fiche DÉTOX #3 : Coûts

Fiche DÉTOX #4 : Eau

Fiche DÉTOX #4.1 : Tritium

Fiche DÉTOX #4.2 : Plutonium

Fiche DÉTOX #5 : Consommation électrique variable

Fiche DÉTOX #6Emplois

Fiche DÉTOX #7 : Dépendance à l'uranium

Fiche DÉTOX #8 : Transports nucléaires

Fiche DÉTOX #9 : Risques

Fiche DÉTOX #9.1 : Mox (prochainement)

Fiche DÉTOX #10 : Santé

Fiche DÉTOX #10.1 : Thyroïde

Fiche DÉTOX #11 : Pieuvre nucléaire

Fiche DÉTOX #11.1 : Antidémocratique

 

12/04/2018

Orano-Areva-CEA-EDF : pollueurs pour des millénaires !

L'ancienne mine d'uranium des Bois Noirs contamine la Loire (42)...

EDF pollue nos départements, nos rivières et nos vies !

 

Les eaux contaminées s’écoulent directement dans la rivière.
Des résidus radioactifs non confinés
ORANO (ex COGEMA-AREVA) est responsable de la gestion de l’ancien site minier uranifère des Bois Noirs (Loire).
A la fermeture du site en 1980, 1,3 million de tonnes de résidus radioactifs issus de l’extraction de l’uranium ont été laissés en place dans un lac artificiel (Grand bassin) retenu par une digue de 42 mètres de haut et 500 mètres de long qui barre la vallée de la Besbre.
Les résidus étant en contact direct avec l’eau, celle-ci se charge en éléments radioactifs : l’uranium, le radium 226, le radon 222, etc…
Les propres mesures d’AREVA montrent que la contamination des eaux par le radium 226 est 5 fois supérieure aux normes de rejets édictées dans l’arrêté préfectoral qui régit le site.
Des eaux contaminées qui s’écoulent directement dans la rivière Les documents présentés par AREVA ces dernières années lors des réunions de la Commission de Suivi de Site laissaient penser qu’en cas de risque de débordement du grand bassin, les eaux étaient pompées vers la station de traitement afin de retenir une partie des éléments radioactifs avant rejet dans la rivière. Ceci était probablement exact dans le passé : un salarié de COGEMA-AREVA mettait alors en place une pompe qui permettait ce transfert.
Ce n’est manifestement plus le cas actuellement. Les images recueillies par la CRIIRAD et le Collectif des Bois Noirs au moyen d’un drone le 19 mars 2018 montrent que les eaux contaminées s’écoulent directement dans la rivière sans traitement.
En effet, lorsque le niveau des eaux du grand bassin monte, elles s’écoulent vers un bassin annexe relié directement au dispositif évacuateur de crues vers la Besbre.
Une contamination sur plusieurs dizaines de kilomètres
Les études réalisées par le laboratoire de la CRIIRAD en 2014 ont montré que dans la rivière, la contamination des mousses aquatiques par le radium 226 est 200 fois supérieure à la normale en aval de la digue, 800 fois à 100 mètres en aval des rejets après traitement, 500 fois à 1,5 km du site et 12 fois à plus de 30 kilomètres en aval du site. Cette situation est inacceptable.
La préfecture a mis en demeure AREVA de remédier à cette situation, sans effet concret pour l’instant. Au contraire l’industriel a attaqué l’arrêté de mise en demeure en contentieux.
 
Dans la video on constate que le niveau de rayonnement gamma mesuré par la CRIIRAD au dessus des eaux de rejet après traitement est de l’ordre de 5 000 c/s (coups par seconde) soit une valeur 25 fois supérieure au niveau naturel local. Cette radioactivité est due en particulier à la présence de radium 226 dans les eaux et à sa forte accumulation dans le béton et les mousses aquatiques qui colonisent la demi-buse de rejet. L’analyse de ces mousses prélevées en 2014 par le laboratoire de la CRIIRAD a montré une contamination en radium 226 de 324 000 Bq/kg sec. Après analyse, ces mousses doivent être considérées comme des déchets radioactifs à vie longue et la CRIIRAD devra financer leur prise en charge par l’ANDRA (Agence Nationale pour la gestion des Déchets RADioactifs). Les mousses sont également contaminées dans la rivière (60 000 Bq/kg sec) à 1,5 kilomètres en aval. Cette situation est liée à l’insuffisance du traitement mis en oeuvre par AREVA et aux normes trop laxistes fixées par l’administration. L’analyse des eaux de rejet effectuée par la CRIIRAD en 2014 a montré une contamination par le radon 222 dissous (245 Bq/l), le radium 226 soluble (0,54 Bq/l), l’uranium 238 (90 µg/l), etc.. La CRIIRAD et le Collectif des Bois Noirs dénoncent cette situaton depuis plusieurs années auprès des autorités (DREAL, ASN).

01/02/2018

Décryptage du discours vicié de JM JANCOVICI...

JANCOVICIeux... vous savez... c'est ce type qui, en 2009 sort un livre "... 3 ans pour sauver le Monde", puis qui laisse passer quelques années depuis 2012 (pour faire oublier ce titre très publicitaire mais vite périmé)... et qui sort finalement l'an dernier un nouveau livre "Dormez tranquille jusqu'en 2100" ! Le ridicule ne tue pas, contrairement au nucléaire.

 

Un rappel pour les vicieux de la trempe de JANCOVICI :

Les pro-nucléaires comme lui n'ont pas de chance en France, car avec la fermeture des dernières centrales à fioul du Pays, c'est bien le nucléaire qui est l'énergie* la plus émettrice de gaz à effet de serre (CO2, etc.) en France ! Oui, le charbon ne représentant que 1 % de la production électrique, on en parle pas en France. Quant au gaz à cycle combiné, il est très peu utilisé et pourra bientôt être d'origine renouvelable. Le reste, 21 %, émet zéro CO2 (les éoliennes, les panneaux solaires et les barrages n'ont ni combustible, ni cheminée, pas la peine de faire un dessin pour comprendre cela...).

Ça doit leur faire mal au nuc., de lire cette vérité criante. NUCLÉAIRE = CO2 ! Car il faut bien aller à l'uranium, comme on allait au charbon avant. Et ce, tous les jours, creuser le sol, encore et encore pour aller chercher la matière radioactive... avant de creuser le sol, encore et encore pour enfouir nos ordures nucléaires. Au bilan : CO2 + déchets nucléaires. Il n'y a pas pire industrie !

Nous n'avons plus d'uranium en France, mais nous avons une armée pour surveiller la spoliation des gisements au Niger par exemple et la même armée pour imposer l'enfouissement des déchets radioactifs à Bure ?

Ces vendeurs de livres publicitaires n'ont pas tout compris, visiblement.

 

* électrique (le lobby nucléaire ne le précise jamais)

16/12/2017

Ne jouez plus avec votre facture EDF. Luttez !

 

http://www.sortirdunucleaire.org/quitte-ou-double

www.enercoop.fr

facebook.com/Angers.Bure.Solidarite

etc.

 

 

29/11/2017

Areva-EDF pollue la France, partout près de chez vous !!

Une délégation de SdN 49 et SdN L&V s'est rendue à St-Priest la Prugne (42, limite 03) le mois dernier. En attendant d'autres images et vidéos, en voici tournées par des professionnels :

 

La plupart des Français-es habitent à moins de 200 km d'une ancienne mine d'Uranium d'Areva-EDF qui crache son poison dans les rivières et fleuves de France (cf. carte ci-dessous) !

carte-francenuc-seule-bc361.jpg

Le Ministre nHulot*, ne peut rien faire ; il n'est pas Ministre de la Santé, il est Sinistre du CO2. Point.

 

* https://twitter.com/n_hulot

 

 

07/01/2017

L'électricité d'EDF : contamination des Africains par les mines d'uranium

La_colère_dans_le_vent1.jpg

 

Lundi 6 février 2017 à 20 h

Centre Jacques TATI

(Maison de Quartier Belle Beille)

5 rue Eugénie Mansion à ANGERS

 

Film documentaire de 54 minutes

Libre participation

La_colère_dans_le_vent3.jpg

Résumé :

 

Dans ma ville d’origine Arlit, au Nord du Niger, Areva exploite l’uranium depuis 1976. Aujourd’hui, une bonne partie de cette région est contaminée. La radioactivité ne se voit pas et la population n’est pas informée des risques qu’elle encourt.

Une partie de l’année, de violents vents de sable enveloppent entièrement la ville. Ce vent de poussière propage des substances radioactives. Chacun cherche un abri. La ville devient calme, toutes les activités sont stoppées.

Mon père, travailleur de la mine d’uranium en retraite, est au coeur de ce film. Il dépoussière ses souvenirs, les 35 années de son passage à la mine. Grâce à lui, je vais à la rencontre d’autres anciens travailleurs et des plus jeunes qui ont certainement leur mot à dire.

 

 

02/02/2015

Conférence "Les Secrets d’Etat autour du nucléaire civil et militaires"

Retrouvez le diaporama de cette conférence, faite le 22 janvier au lycée Joachim du Bellay; Cliquer sur l'image ci dessous

Voir la biblio : ici

14/06/2014

Vient de paraître - Des mouches dans le bush

Ce témoignage de 10 semaines de marche, 1 200 km dans le bush, en opposition aux mines d’uranium et pour la souveraineté des Aborigènes, restera certainement un petit pas dans la lutte antinucléaire, mais l'ensemble des empreintes forme d'ores et déjà un réseau international d'opposants à la folie nucléaire.

Des mouches dans le bush – La marche des terres minées
348 pages
14€
Co-édition ABC’éditions et La Question - mai 2014
ISBN - 978-2-919539-07-9

03/02/2014

Projection de "Qui sème le vent" le 13 février à Cholet

 

Survie

 

L’association Survie49 propose une projection du film "Qui sème le vent". Ce film qui interroge sur la filière française de l'uranium au Niger sera suivi d'un débat avec des membres de l'association Survie.

C'est la 13

février Au Cinemovida à 20h (Cholet)

Toute l'info

de Survie : http://survie.org/

19/12/2013

Signer la pétition contre l'ouverture d'une mine à Kintyre en Australie

Salut,

voici un lien pour signer une pétition contre l'ouverture d'une mine d'uranium en Australie à Kintyre :

http://ccwa.org.au/kintyre

23/11/2013

1er décembre "Randonnée découverte" des mines d’uranium à Gétigné (44)

EN FRANCE, LE NUCLÉAIRE EST PARTOUT...
ET AUSSI CHEZ NOUS EN PAYS DE LA LOIRE


Nous n’avons pas de centrales nucléaires parce que la population a résisté de 1975 à 1997 à deux projets : Le Pellerin et Le Carnet. Mais nous avons :


- DCNS qui produit des réacteurs nucléaires à Indret (moteurs de sous-marins nucléaires, sous-traitance EPR, projet de centrales nucléaires sous-marines),
- un héritage empoisonné : d’anciennes mines d’uranium à Gétigné, Gorges (2 sites), Piriac et 7 autres sites de la presqu’île guérandaise où a été extrait de l’uranium.

Après la fermeture des mines d’uranium françaises, les « stériles » miniers ont été abandonnés sur les sites - qui sont souvent en accès libre - ou réutilisés dans des projets d’aménagement, sans tenir compte de leur radioactivité, exposant les populations à des risques considérables. A Gétigné, sur le site de l’Ecarpière, divers projets de reconversion aberrants et de dissémination de stériles ont été abandonnés grâce à la vigilance des membres de l’association Moine et Sèvre pour l’avenir.

Les anciens sites miniers sont aussi des lieux « intéressants » pour d’éventuels enfouissements de déchets nucléaires ou autres.

Où sont les « points chauds » radioactifs de la région?
A quoi ressemblent ces sites aujourd’hui ?
Pour vous informer davantage, nous vous proposons cette « randonnée découverte » sur Gorges et Gétigné.

RDV à 10H30, place de l’église à Gorges
Prévoir son pique-nique
Passage place de l’église de Gétigné à 14h00
Fin envisagée vers 16h

Organisé par l’association Sortir du nucléaire Pays nantais Contact : Annick : 02 40 75 24 66

LA FRANCE EN GUERRE AU MALI ENJEUX ET ZONES D'OMBRE

Rencontre – débat, Vendredi 29 novembre 2013 à 20h00,

L’association Survie vous invite à une rencontre-débat sur l’intervention et le rôle de la France au Mali.

Survie est une association de citoyens qui militent en faveur de l’assainissement des relations entre la France et l’Afrique, elle porte une analyse critique sur la politique de la France au Mali.

Survie a souhaité donner la parole à une personnalité malienne et a invité Issa Ndiaye. Il présentera son analyse et décrira comment les maliens perçoivent le rôle de la France.

Issa Ndiaye est professeur de philosophie à l’Université de Bamako. Ancien ministre de l’éducation, postfacier du livre de Survie « La France en guerre au Mali. Enjeux et zones d’ombres ».

La conférence débutera à 20h30 et sera suivie d’un débat. Et dès 20h, venez découvrir l'exposition "L'intervention française au Mali: mensonges et contrevérités".

Centre Jacques Tati
5, rue Eugénie Mansion à Angers
(quartier Belle-Beille)
Entrée libre