24/02/2013
Tous à la chaine humaine pour l’arrêt du nucléaire, le 9 mars à Paris
En 2013, la chaine se déploiera à Paris entre le quartier de la Défense (EDF, Areva, ministère de l'énergie) et Bercy (ministère des finances) en passant par l'Assemblée Nationale, et par d'autres institutions nucléarisées.
Inscription indispensable : chaine2013angers@gmail.com
13:24 Publié dans Actu, Vie de l'association | Lien permanent | Commentaires (1)
19/02/2013
Le nucléaire, c’est zéro tracas, zéros blablas
Greenpeace a publié le 19 février 2013 un rapport intitulé Fukushima deux ans après : l’industrie nucléaire « irresponsable » (lire l’essentiel du rapport en français : http://act.gp/WFmcgK ) décrivant comment l’industrie nucléaire dans le monde est dispensée d’assumer la responsabilité de ses erreurs et des dégâts qu’elle a causés. Au Japon, les victimes de la catastrophe paient le prix fort de ce système qui protège les intérêts des entreprises du nucléaire : deux ans après, elles ne sont toujours pas indemnisées correctement.
Et en France ?
En France, la situation est particulièrement scandaleuse. EDF assure aujourd’hui ses centrales pour 91,5 millions d’euros par réacteur, en accord avec les textes des anciennes conventions en vigueur depuis les années 1960. Pourtant, l’IRSN a évalué en février 2013 le coût d’un accident nucléaire en France à 430 milliards d’euros. Même lorsque le gouvernement portera cette provision obligatoire en cas d’accident à 700 millions d’euros, ce qui est prévu par les conventions internationales depuis 9 ans, cela restera largement insuffisant.
« Si l’on intègre les conséquences économiques d’un accident nucléaire au coût du MWh, l’électricité nucléaire perd immédiatement son image d’énergie bon marché. Il est impératif de cesser de mentir sur les coûts réels du nucléaire. C’est en intégrant tous ces coûts que l’on se rendra compte que cette technologie représente un fardeau que notre société n’a plus le luxe de se payer » conclut Sophia Majnoni d’Intignano.
23:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
14/02/2013
Effondrement d’un toit à Tchernobyl : Vinci et Bouygues évacuent leur personnel
Près de 80 employés de Vinci et Bouygues qui travaillent à la construction de l'enceinte de confinement du sarcophage recouvrant les restes du réacteur nucléaire accidenté de la centrale de Tchernobyl (Ukraine) en 1986, ont été évacués "par précaution" après l'écroulement mardi 12 février d'un toit et d'un mur sur le site, ont indiqué les deux groupes français de BTP.
Un toit et un mur se sont écroulés partiellement à plusieurs dizaines de mètres du chantier, sans faire de victime ni provoquer de hausse de la radioactivité, selon le service de presse de la centrale.
Le chantier, d'un coût d'un milliard d'euros, tournait au ralenti en raison du mauvais temps. Il a été évacué immédiatement par précaution et l'ensemble des collaborateurs de Novarka, l'entreprise conjointe de Vinci et Bouygues, on
t été contrôlés, a indiqué une porte-parole de Bouygues.
12:31 Publié dans Tchernobyl | Lien permanent | Commentaires (0)
13/02/2013
Un peu d'humour...
10:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/02/2013
Marche antinucléaire pour la vie
18:55 Publié dans Rejets gazeux | Lien permanent | Commentaires (0)
L'ASN menace de fermeture le site de la Hague d'Areva !
Ci dessous un article du Canard Enchaîné décrivant la comportement d'Areva en matière de sécurité nucléaire. Bilan :
- Areva ne tient pas compte des rapports d'inspections, pourant inquiétant, de l'ASN...
- Areva préfaire faire du lobbying vers la presse... On citera notamment Ouest-France qui relaie bien le message des pro-nucléaires.
Bonne lecture
12:16 Publié dans Déchets nucléaires | Lien permanent | Commentaires (0)
03/02/2013
Bonne nouvelle : abandon du BURE britannique
Nouveau séisme dans le monde des déchets nucléaires : Abandon du BURE britannique
La nouvelle est tombée hier soir tard, à travers un article du Guardian.
Les élus du Conseil de la région de CUMBRIA (nord-ouest) viennent de voter ce mercredi l’abandon du projet d’enfouissement qui courait là depuis des années. Promesses (sûreté du projet), emplois, manne financière, rien n’y a fait. Etudes indépendantes et détermination auront eu raison d’un processus qui, partout dans le monde, suscite des craintes massives.
La « moins pire des solutions », l’enfouissement des poisons nucléaires ? Si c’était la solution, sûre et garantie comme le clament ceux qui nous ont engagés dans cette nasse technologique, pourquoi des études qui n’en finissent pas, sur des années et des années, à des coûts faramineux (1,2 milliard d’euros à ce jour rien que pour le Bure français !) ?
Le site de Cumbria abandonné à cause d’une géologie défaillante ? Pourtant, à l’occasion d’une récente grand messe internationale, à Toronto, Bruce McKirdy représentant du Royaume-Uni vantait le site.
12:01 Publié dans Actu, Déchets nucléaires | Lien permanent | Commentaires (0)